“ Rencontre avec un musicien hors pair.Virtuosité et émotion étaient les maîtres mots du pianiste cesoir-là, dans l’église de St-Merry. Dépourvu de tout artifice, lejeu du musicien est à l’image de l’homme lui-même, quis’installe au piano sans manière ni mise en scène. La simplicité,c’est le leitmotiv de Julien Faure qui jongle naturellement avec lesétats d’âme de Chopin, de la colère à la douleur. Le musicien amontré sa maîtrise des nuances avec élégance et panache. ”Margaux Malinge “ Julien Faure : un art tout en simplicité ”, PIANISTE,5 mars 2014“ Il propose aujourd’hui un premier album solo sous la formed’une démo pleine de charme, de titres captés en live comme enstudio…L’avis de la rédactionLe principe du piano solo n’est jamais très aisé aussi bien dansl’interprétation qui doit être minutieuse que dans la prise de sonqui doit être impeccable. Julien Faure y arrive ici avec brio. Lacaptation du piano est claire, le son précis et bien réparti dansl’espace stéréo, offrant de la place à la voix chantée en anglaispour une meilleure clarté. Il nous offre en plus à la fin de l’album,deux titres bonus réalisés en studio dont l’un avec une formationcomplète comprenant section rythmique, guitares et harmoniesvocales… A suivre de très près… ”Valérie Dupretz & Thierry Demougin “ Julien Faure - Melencolia I ”, KRHOME-STUDIO (“ Le magazine de la création musicale ”), n°287H, août2013
Gilles Mathivet, Les Affiches de Grenoble et du Dauphiné,27 septembre 2013
“ Comme la plupart des biographies des solistes classiquesd'excellence, celle de Julien Faure est émaillée de prix(le “ Deuxième ” du concours Vasso Devetzi), de professeursprestigieux (Brigitte Engerer), de Conservatoires (Royal College ofMusic de Londres) et de trajectoires internationales. Mais parmiles chocs esthétiques majeurs du jeune pianiste, Chopin et Lisztcôtoient les Pixies, Nirvana et Portishead. Sur scène, Faureinterprète tant le grand répertoire pianistique que ses proprescompositions rock, dont les arrangements virtuoses pour piano-voix et les mélodies très travaillées renvoient à l'exigence de leurauteur. Un artiste duel, véritablement unique en son genre, àsuivre absolument... ”Vanessa Fara “ Julien Faure - Un chaînon rare et précieux entre pianoclassique et rock mélodique ”, LA TERRASSE (“ Le portail des artsvivants en France ”), n°195, février 2012
Joris Kientzy, Dernières Nouvelles d'Alsace, 2 octobre 2013
Julien Faure invité de l'émission "Tout sur un plateau" animée par Emilie Tardif, TV Tours, 7 février 2014
Extraits de l’émission “Ballade Musicale” animée par Bernard Ventre, IdFM - Radio Enghien, 7 avril 2014
“ Lors de son concert à la Cité Internationale des Arts, le 3 juin,Julien Faure nous a livré toute une palette de l’œuvre de Chopin,en toute honnêteté.En dehors de ce programme qui alterne vivacité, passion, calmeet lyrisme, Julien Faure a su interpréter Chopin avec beaucoup dejustesse. Grâce à une grande dextérité des doigts alliée à unegrande sensibilité, il a su transmettre, jamais sans en faire trop,toutes les émotions que l'on éprouve chez Chopin. En prime,Julien Faure nous a livré, lors du rappel, un aperçu de son autretalent, la composition. Convainquant dans le répertoire classiquecomme dans sa propre musique, Julien Faure estincontestablement un pianiste à suivre de près ! ”Aénor Gillet de Thorey “ Julien Faure explore très justement les émotions chez Chopin ”, PIANISTE, 4 juin 2014
“ Salle comble pour le récital du pianiste Julien Faure à la Cité desArts à Paris ”Michaël Sebaoun “ Julien Faure joue Chopin à Paris ”, LA LETTRE DUMUSICIEN, 3 juin 2014
20 minutes, édition du Grand Paris, n°2681, 16 juin 2014
“ Il avait fait salle comble lors de son passage à Tours en févrierdernier… Les mélomanes retrouveront avec plaisir ce brillantjeune pianiste qu’est Julien Faure – prix de piano auConservatoire de Paris dans la classe de Brigitte Engerer. Unvirtuose atypique puisque Julien Faure, merveilleux interprète deBeethoven et de Chopin, entre autres, est par ailleurs passionnéde pop anglo-saxonne et qu’il a commencé très jeune à écrire età chanter ses propres compositions, inspirées des Pixies, desBeach Boys, de Portishead ou encore de Nirvana. Un doublehéritage qui invite à réconcilier le monde de la musique ditesavante et celui de la pop music. ”Marie Lansade “ De Chopin à la pop anglo-saxonne... ”, Magazine PARALLELE(S), 1er octobre 2014